La Bible en Tibétain

Le petit Yoseb Gergan, âgé de sept ans, répétait d’une voix monotone les mots de sa prière : « Ah, le bijou dans le lotus, le bijou dans le lotus… » tout en secouant avec respect sa roue de prière[1]. Son père ne semblait pas se sou­cier de ce qu’il soit ou non religieux. Tout ce qu’il faisait, c’était de s’as­seoir avec les missionnaires, Heyde et Pagell autour d’un livre étrange.

 

Yoseb était né en 1878 au Cachemire, une très jolie terre de montagnes, de lacs et de jardins, dans la région fraîche du nord de l’Inde. Son père, bien que fugitif du Tibet, était riche ; aussi avaient-ils une très jolie et vaste maison. Yoseb aimait aller sur les péniches qui naviguaient, avec leurs « jardins flottants » sur les nombreux canaux et rivières. Un vieil homme lui permettait de pêcher du haut de son petit bateau appelé « shikari », et lui donnait à boire du thé au gingembre.

Quelquefois, Yoseb dépensait de l’argent en allant sur un « doonga[2] » pour s’acheter des oeufs durs, des raisins et des morceaux de noix ce coco qu’il mangeait avec appétit. A la maison, sa mère faisait des « chapatties[3] » qu’elle servait avec un bol de lait caillé.

 

En hiver, alors que la neige tombait, embellissant le Cachemire, Yoseb sortait couvert d’un chaud manteau, tandis que les paysans s’emmitouflaient dans les couvertures de laine, charriant avec eux un petit poêle à charbon de bois sous les couvertures. Il sentaient la fumée et étaient toujours sales.

 

Le père de Yoseb avait acheté la « roue de prière » au Tibet où les gens ne connaissaient qu’une seule prière. Les Tibétains sont Bouddhistes et croient que s’ils font quelque chose de mauvais, ils meurent et renaissent sous la forme d’un serpent ou d’un âne. Cette idée faisait frissonner Yoseb. Etait-ce vrai ? Ses voisins au Cachemire n’avaient pas les mêmes croy­ances. Ils étaient Musulmans. Ils s’agenouillent pour prier en se tournant vers l’Est et ceci cinq fois par jour. « Il n’y a qu’un seul Dieu, Allah, et Mahomet est son prophète », récitaient-ils de leur voix chantonnante.

 

Quelle était la vraie prière ? Quelle était la vraie religion ? Tout cela tracassait Yoseb jusqu’au jour où il fit une merveilleuse découverte. Il trouva un petit livre ; l’Evangile de Jean en Tibétain. Il était capable de le lire car son père lui avait appris beaucoup de choses et entre autres différen­tes langues.

 

Yoseb se mit à lire la vie du Fils du Dieu qui se fit homme, vécut sur la Terre et paya pour les péchés des hommes en versant son sang. Et Yoseb lut dans l’Evangile de Jean « Si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jn 8 : 24). Yoseb savait bien ce qu’était le péché car il avait fait beaucoup de vilaines choses telle que désobéir à son père, par ex­emple. Il n’avait pas envie de mourir dans ses péchés et aspirait à ce qu’ils lui soient pardonnés.

 

Yoseb apprit que le Fils de Dieu s’appelait Jésus et qu’il avait promis le pardon des péchés et la vie éternelle à ceux qui l’acceptaient comme Sau­veur. Yoseb navait jamais entendu une chose aussi merveilleuse et son cœur lui disait que c’était vrai. Sur le moment, Yoseb ne dit à personne qu’il croy­ait en Jésus et qu’il était devenu chrétien. Et les missionnaires, eux, étaient allés s’établir à Leh[4], à 80 kilomètres de là.

 

Un jour, subitement, le père de Yoseb tomba malade. Tandis que Yoseb était à son chevet, son père lui dit : « Tu sais, je crois aussi en Jésus. » Le coeur de Yoseb fut réjoui ! Puis le père implora « Envoie chercher les mis­sionnaires et demande leur de t’envoyer dans une école chrétienne. »

Le temps que les missionnaires arrivent, ayant eu à traverser un défilé montagneux de 5 400 mètres d’altitude, le père de Yoseb était mort.

A l’âge de douze ans, Yoseb était un enfant réfléchi et calme. Il dé­sirait alors que les autres sachent qu’il croyait en Jésus, le Fils parfait de Dieu. Il alla dans une école dirigée par des chrétiens à Srinagar[5], la plus grande ville du Cachemire. Il était le seul chrétien dans une école de cent garçons. Ses camarades « l’embêtaient » et lui lançaient des pier­res et de la boue.

 

Un jour, en classe, un enfant « Brahmane[6] » dit au maître :

 

« Pourquoi vous, étrangers, venez-vous ici pour nous changer et nous enlever notre religion ?

 

– Nous voulons seulement changer ce qui est faux, reprit le maître. Vo­tre religion dit que si votre père meurt, votre mère doit être brûlée vive à ses funérailles. Pensez-vous que cela soit juste ?

 

– Oui ! Oui ! Bien sûr ! crièrent tous les garçons en colère. Ça, c’est notre religion ! »

 

Yoseb bondit et s’adressant à un garçon lui dit :

 

« Aimerais-tu voir ta jolie sœur mariée brûlée vive si son mari venait à mourir ?

 

– Pourquoi pas ? répondit froidement le garçon. Notre religion nous le commande. »

 

Yoseb retint sa langue. Un jour, il ferait quelque chose pour changer cela. Si seulement ils avaient la Bible, si seulement son pays, le Tibet, avait la Bible car c’était encore pire là-bas. En effet, il y avait cinq millions et demi de gens qui avaient besoin du Seigneur Jésus et n’en avaient jamais enten­du parler.

 

Yoseb continuait à travailler dur. Il étudiait beaucoup et prenait part à toutes sortes de sports pour fortifier son corps. Mais, par-dessus tout, il priait, lisait les Evangiles et grandissait dans la foi chrétienne.

 

Yoseb réfléchissait beaucoup au sujet des différentes religions qu’il connaissait et de leurs mauvaises voies. Le christianisme était différent. Le vrai Dieu disait « Soyez saints car je suis saint »[7], et Il donnait le pouvoir de vivre comme le Christ.

 

Yoseb avait à parcourir trois kilomètres et demi pour aller à l’école et sou­vent il passait devant la Mosquée de Hazrathal[8]. Pour les musulmans, la mosquée était un lieu sacré. A l’intérieur, il y avait, sous clef, derrière des portes d’argent, un coffret dans lequel se trouvait une bouteille de verre qui contenait un simple cheveu de, Mahomet.

 

Un cheveu ! Et les gens l’adoraient ! Comment pouvaient-ils faire çà ? Yoseb réfléchit. Un cheveu n’a pas de pouvoir !

 

Onze années s’étaient écoulées et Yoseb avait fini sa scolarité. Son professeur lui dit :

 

« Maintenant tu peux devenir policier ou officier de la douane, te faire une bonne situation et gagner beaucoup d’argent.

 

La pensée du cheveu sacré et des veuves brûlées lui revinrent en mémoire ainsi que les roues de prière tibétaine avec leurs vaines redites, et les cinq millions et demi de personnes qui n’avaient jamais vu la Bible.

 

« Je ne désire ni richesse, ni grandeur, répondit-il, j’ai donné ma vie au Seigneur Jésus et je veux le servir. Je vais me consacrer à traduire la Bible, ainsi elle pourra atteindre mon peuple au Tibet et ce sera comme si elle avait des jambes pour pénétrer dans ce pays. Elle annoncera à ce peuple l’amour de Dieu qui pardonne les péchés. »

Yoseb avait travaillé très dur dans l’étude des langues et avait bien réussi. Il connaissait l’anglais, l’ourdou[9], le cachemire et beaucoup d’autres langues indiennes à côté du tibétain. Pour subvenir à ses besoins, il enseignait dans une école missionnaire, mais son principal travail était la traduction.

 

Le tibétain n’est pas une langue qui a seulement vingt-six lettres faciles comme celles de notre alphabet mais il a une écriture en forme de boucles, copiée de la langue indienne il y a environ 1 300 ans. Il est très difficile à apprendre et encore plus à écrire.

 

Comment Jean 3:16[10] pouvait-il être traduit en tibétain ? « Car Dieu a tant aimé… » Quel mot pouvait être utilisé pour Dieu dans cette langue ? Pas Shiva[11] ni Bouddha ni Allah[12] ni Vishnu[13]. Ce mot devrait vouloir dire Seigneur des seigneurs, le Dieu de toute la création, un Dieu qui les aima jusqu’à mourir pour eux, un Dieu Saint. Chaque mot devait être choisi avec beaucoup de soin.

 

Yoseb devait faire attention à ce que la signification du mot soit claire. « Dieu a tellement aimé le monde… » Comprendraient-ils cette sorte d’amour ? Les dieux païens n’aimaient pas les gens et les gens ne les aimaient pas.

 

Yoseb mit 35 ans à traduire la Bible en tibétain…

 

Un jour, il écrivit une lettre à un ami missionnaire :

« Je suis en train d’écrire chez moi, à la lueur des bougies, en plein midi, Car ma maison est enfouie sous la neige. Quand je veux faire de l’exercice je dois grimper, passer par un trou dans le toit, et marcher sur la neige. »

 

Quand la Bible fut finie, il l’envoya en Angleterre où pendant six ans des personnes compétentes l’examinèrent avec attention pour qu’il n’y ait pas d’erreur. C’est alors que la deuxième guerre mondiale se déclara et la Bible tibétaine fut cachée durant le bombardement de Londres jusqu’en 1945, dans le sous-sol de la Cathédrale Ripon[14].

 

Yoseb, lui, attendait, et continuait d’attendre. Verrait-il jamais son précieux livre imprimé ? Il était maintenant âgé de soixante ans. La fin de la guerre arriva et, à nouveau, le papier d’imprimerie fut abondant. La Bible entière devait être copiée sur un papier spécial couvert de jaunes d’œufs battus et de produits chimiques. Yoseb travaillait nuit et jour, prenant à peine le temps de manger. Il se fatiguait et s’affaiblissait. Trois autres hommes l’aidaient dans ce travail. Et tous travaillaient beaucoup et dormaient peu.

Enfin, le 16 août 1946, le livre pour lequel Yoseb avait prié « qu’il ait des jambes » fut achevé. Et, cinq jours plus tard, Yoseb Gergan mourait.

 

La Bible finie fut transportée à dos de mulet jusqu’à Lahore, cinquante-deux jours de voyage, pour être préparées avant l’impression. Ce qui représentait un dange­reux voyage gravir des pics montagneux, descendre des ravins, traverser des gorges, franchir des planches de bois, passer à gué des rivières froides.

 

Des fautes dans la copie à la main furent trouvées et le livre renvoyé à Leh pour les corrections. Hélas la Bible fut perdue dans le transport et dut être recopiée entièrement. Quel travail pour tous ces chrétiens !

 

La Bible fut envoyée par la poste une seconde fois. Mais un employé du bureau de poste renversa accidentellement de l’eau sur le paquet et toutes les pages furent endommagées. Il fallut à nouveau la recopier !

 

La Bible fut pour la troisième fois postée ; c’était l’année 1947 et la guerre entre l’Inde et le Pakistan avait éclaté. Des bandits attaquaient les routes de montagne, aussi était-il impossible d’envoyer du courrier. La Bible était perdue quelque part au Cachemire…

 

Un des amis missionnaires de Yoseb, à Lahore, Monsieur Chandu Ray, avait très à cœur de voir la Bible tibétaine arriver au Tibet. Il reconnut que tou­tes ces difficultés étaient dues à Satan, l’ennemi de Dieu. Alors Chandu Ray rassembla tous les chrétiens de Lahore et ils passèrent toute une journée à prier pour la Bible tibétaine.

Pendant que les croyants de Lahore priaient, un écrivain chrétien, Gapel vivant à 3 280 kilomètres de là, dans les montagnes neigeuses de Leh, fut soudain con­scient que Dieu parlait à son cœur. Gapel ne savait rien de cette réunion de prière à Lahore mais Dieu l’aida à trouver la Bible. « Porte la Bible à Lahore », semblait lui dire Dieu.

 

Affrontant la tempête de neige avec le poids de la Bible sur son dos, dix-huit kilos, il tenta l’impossible. A plusieurs reprises, les soldats paki­stanais essayèrent de l’attraper, mais il connaissait mieux les sentiers de montagne qu’eux, et chaque fois, il s’échappait et disparaissait dans la neige et la grêle. Il n’y avait personne pour l’aider. Tous les missionnaires avaient quitté le pays à cause de la guerre.

 

Gapel était déterminé à accomplir sa mission aussi vite que possible car il savait que des millions de gens au Tibet avaient besoin de la Parole de Dieu. Aussi, glissant, tombant, écorchant ses mains et son visage, affamé, saignant et souffrant, Gapel poursuivit sa route et arriva au pont qui traverse l’Indus, rivière du Cachemire. Là, il fut attrapé par des soldats in­diens et fait prisonnier pendant quatre mois et demi.

 

Le sort du précieux livre semblait perdu. Gapel griffonna une note et paya un messager pour la porter à Chandu Ray à Lahore. Il n’osa pas signer, ni faire mention de l’endroit où il se trouvait, car il était considéré comme es­pion par ceux qui l’avaient arrêté.

 

Quand le messager arriva, haletant, il dit :

 

« Je viens du pont de l’autre côté de l’Indus au Cachemire. Un homme âgé m’a payé pour vous apporter cette note. »

 

Se dépêchant d’aller au petit aéroport voisin, Chandu Ray demanda un vol pour le Cachemire.

 

« Voler sur le territoire ennemi, pendant la guerre ! s’ex­clama le pilote. Cet avion est le dernier et j’ai reçu des ordres pour annuler le vol. »

 

Chandu Ray pria silencieusement.

 

« Comment allez-vous faire pour rembourser leurs billets à tous les passagers ? » demanda-t-il très vite. Le pilote décida alors de partir tout de suite…

En arrivant au Cachemire, Chandu Ray marcha trois jours avant d’attein­dre le pont. Gapel l’attendait de l’autre côté. Des troupes indiennes arrêtè­rent Monsieur Ray, mais il leur distribua des Evangiles dans leur propre lan­gue, ce qui procura de la joie.

 

L’un des officiers accompagna Monsieur Ray de l’autre côté du pont dé­fendu où il trouva Gapel. Comment allaient-ils pouvoir rentrer à Lahore main­tenant ? Un avion chargé de soldats indiens blessés était sur le point de dé­coller pour Dehli[15] qui se trouvait très loin de leur destination. Chandu Ray et Gapel reçurent deux permis spéciaux. C’était encore là un miracle !

A Dehli, les deux hommes prirent un vieux train délabré pour le nord, et restèrent debout tout le voyage entassée avec des centaines d’autres personnes. Ayant traversé la frontière entre l’Inde et le Pakistan, ils louèrent un vieux taxi pour se rendre à Lahore. Quelles péripéties pour arriver à la maison ! Mais le livre était sauf.

 

 

La Bible tibétaine fut mise sous presse et des hommes y travaillèrent nuit et jour. Les machines, elles, ne s’arrêtèrent que lorsque le travail fut fini et Gapel reçut la première copie de la Bible tibétaine, puis il s’en alla chez lui.

 

Il avait été absent plusieurs mois et ses amis le croyaient mort. Quand il atteignit son village, il montra la Bible à ses amis et ils se mirent à pleurer de joie. Ils s’agenouillèrent pour remercier et louer Dieu de leur avoir donné la Bible car ils étaient tous tibétains.

 

Les Bibles tibétaines se vendirent aussi vite qu’elles avaient été im­primées. Les missionnaires n’avaient pas pu pénétrer au Tibet mais les prières de Yoseb avaient été exaucées. « Le livre qui a des jambes » a pu y pénétrer, transporté par des chrétiens de l’autre côté de la frontière.

 

Les prêtres dans les monastères se mirent, avec empressement, à lire la Bible tibétaine. Des marchands, des moines vinrent à la frontière et en empor­tèrent des copies au Tibet ; et même des troupes chinoises communistes achetè­rent des copies de la Bible tibétaine. Ils voulaient apprendre le tibétain, aussi comparaient-ils ces copies avec celles de la Bible chinoise et de cette façon apprenaient la langue.

Avec beaucoup de travail et de sacrifices de la part des chrétiens, la Bible tibétaine put être finalement envoyée au Tibet. « Dieu ne permettra pas que sa Parole retourne à lui sans effet, sans avoir accompli ses desseins. » (Es 55 : 11)

 

Le « Livre qui a des jambes » avait voyagé à travers quatre pays : l’Inde, le Cachemire, l’Angleterre et le Pakistan. Maintenant, il était dans un cinquième pays : le Tibet ! Des miracles s’étaient succédés les uns après les autres, et beaucoup de prières avaient été exaucées.

 

Le Tibet est toujours un pays[16] interdit aux missionnaires, mais il n’est pas entièrement fermé parce que Jésus, la Lumière du monde, y est, et le « Livre qui a des jambes », parlant d’un Sauveur qui nous aime et qui est mort pour nous sauver de nos péchés, s’y trouve aussi. Il a pénétré au Tibet parce qu’un gar­çon de sept ans avait mis sa confiance en Jésus-Christ et lui avait donné sa vie.

 

Voici quelques chiffres montrant comment Dieu agit. D’après un rapport portant sur six années[17], plus d’un million et demi de Bibles ou por­tions de 1’Ecriture en tibétain ont été distribuées. L’armée Rouge de Chine a transporté des Bibles au Tibet pour enseigner à leurs troupes à lire la langue tibétaine pendant des années.


Notes :

[1] Il s’agit de roues (Il en existe de grandes dans tous les temples bouddhistes tibétains) à l’intérieur desquelles sont enroulés des parchemins sur lesquels ont été écrites des prières. Lorsque ces roues à prières tournent dans le sens de l’horloge, les prières écrites sur des parchemins roulés à l’intérieur sont considérées comme étant prononcées, apportant ainsi des mérites à ceux qui les font tourner.

[2] Un bateau-restaurant.

[3] Des gâteaux frits.

[4] Leh (sle en tibétain) est la ville la plus importante du Ladakh, située à 3500 m d’altitude, dans la vallée de l’Indus. La ville appartient maintenant au district Leh dans l’état de Jammu et Cachemire en Inde.

[5] Srinagar ou Shrînâgar – de nâgar, ville et shrî, sainte – est la capitale de l’ États indien du Jammu-Kashmir. La ville est située à 1768 m d’altitude, sur le lac Dal, formé par la Jhelum et célèbre pour ses houseboats, des bateaux d’habitation à l’aménagement souvent luxueux.

[6] Le brahmane est un membre d’une des quatre castes en Indes : avec les brahmanes, il y a les prêtres, les enseignants et les hommes de loi. Les brahmanes font partie des Castes supérieures en Inde. Ce sont les hommes les plus importants. Ils sont très respectés.

[7] Lv 11 : 45, 1 Pi 1 : 15 et 16.

[8] Construite par l’empereur Shah Jehan qui construisit aussi le Tadj Mahall en Inde.

[9] L’ourdou ou urdu est une langue indienne. Il est parlé au Pakistan, dont il est la langue officielle, ainsi que dans le nord de l’Inde, où il est également une langue officielle reconnue par la Constitution. Environ 160 millions de personnes utilisent l’ourdou, dont 60 à 80 millions qui l’utilisent comme première langue.

[10] « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. »

[11] Shiva transcrit parfois par Siva ou Çiva, « le bon, le gentil, qui porte bonheur », est un dieu hindou. Il est la personnification de l’Absolu, le principe destructeur et en même temps régénérateur du monde, dispensateur de mort et de renaissance.

[12] Le dieu des musulmans.

[13] Vishnu ou Vishnou, également appelé Hari, est un dieu hindou, associé à la conservation et à la protection. Il forme avec Brahma et Shiva la base des divinités hindoues. C’est une divinité de vie-mort-renaissance.

[14] Ripon : ville située au nord de Londres.

[15] New Delhi est la capitale de l’Inde.

[16] Le Tibet a été annexé par la Chine en 1951… Depuis les années 1975 à 1985, l’oppression chinoise est très importante… Le réveil spirituel qui a suivi la diffusion de la Bible en tibétain a préparé des centaines de milliers de personnes aux grandes difficultés et à la persécution.

[17] Société biblique en Inde 1969 à 1975.

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